Africaventour - Itinéraire prévu en 2009 -
2009 - Nous ne partons
plus ... par la Tunisie comme prévu initialement,
mais par la Turquie, Jordanie, pour rejoindre
l'Egypte. Ce changement de programme nous fera
gagner du temps et faire des économies.
Nous éviterons ainsi un carnet de passage
en douane d'un montant de 250 % du véhicule,
mais seulement 100 % du véhicule. Ouf
! Quel soulagement ! mais quand même.
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Egypte ----> Maroc
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Itinéraire
projeté (2009):
* Etude de l'itinéraire *
Les
principaux points délicats ainsi que les
passages difficiles et dangereux sur notre itinéraire de voyage.
1 – AFRIQUE de l’EST
Le Lac Nasser : Au sud de l’Egypte entre
la frontière Egyptienne et Soudanaise.
Un passage quasi obligé pour se rendre
au Soudan. Réputé pour s’appeler
le raquette du Lac Nasser, harcelé et racketté
de toute part pour naviguer de Assouan à
Waldi Halfa. Ce passage n’est pas dangereux
mais ruineux . Il existe toutefois l’alternative
du bateau par la mer rouge en direction de Port
Soudan. Nous éviterions ainsi la traversée
du Lac. A réfléchir sur place ?
Frontière Soudan / Ethiopie : c’est
entre Gedaref et Gonder que la question se pose
concernant l’infrastructure routière
uniquement. Nous attendons confirmation de personnes
qui y sont déjà passées.
Passage de la piste du Nord du Kenya : D’une
distance de 500 Kms entre Moyale et Marsabit,
cette piste est très problématique,
surtout en période de pluie. Sol naturel
avec cailloux très coupants, crevasses,
nids de poules, boues, sillons … Sur pratiquement
tout le parcours, il n’y a pas âmes
qui vivent. Nous prévoyons d’affronter
ce passage avec le maximum de vivres et en 4 jours
si nous n’avons rien cassé entre
temps. La sécurité est aussi très
incertaine surtout vers Moyale.
En Tanzanie : L’infrastructure devrait
être acceptable, mais un passage d’environ
400 km nous préoccupe entre Kibiti et Lindi.
Il faut dire que cette piste est partiellement
inondée par temps de pluie. Même
si nous y passons en saison sèche, le risque
de faire demi tour ou d’être bloqués
dans l’attente d’une amélioration
n’est pas à négliger. Un autre
itinéraire (par les terres) en fonction
de la météo est à prévoir
mais serait bien évidement beaucoup plus
long. Nous n’avons pas de correspondant
sur place ou quelqu’un qui connaisse bien
la zone.
Afrique du sud : L’insécurité
est très présente et surtout dans
les grandes villes. Là encore, il suffit
tout simplement de faire preuve de bon sens et
de réalisme en adoptant des règles
simples que nous ont communiquées certains
globes-trotteurs.
2 – AFRIQUE de l’OUEST
Angola : Insécurité à quelques
endroits sur la traversée de ce pays par
des mouvements de peuplades en guerre. Eviter
impérativement les lieux de densification
anormale de populations. L’infrastructure
reste très délicate et inconnue
pour le moment entre Nagage et Kintanu
Congo : Entre Kinshasa/ Brazzaville à
Lambaréné, une section de 600 kms
mêlée de routes, de pistes en sol
naturel et de groupes dit « coupeurs de
routes » nous posent quelques questions.
Nous sommes actuellement en train d’étudier
de très près ce secteur réputé
difficile et relativement dangereux.
Il est bien évident que cela ne représente
pas tous les passages délicats et que si
nous nous référons aux informations
diplomatiques du gouvernement Français
et des consulats, la liste est bien plus colorée
et élargie. Il est bien difficile de rester
réaliste alors que leur but est de noircir
le tableau. Les 3 C.
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